Françoise Davoine a travaillé, avec Jean–Max Gaudillière, disparu en mars 2015, comme psychanalyste. Mais ils sont l’un et l’autre venus d’autres horizons, ceux de la littérature. Leur travail de pensée étudie le rapport entre la folie et le lien social, ou comment la folie est un mode d’exploration des failles du lien social.
Françoise Davoine poursuit aujourd’hui sa pratique, sa recherche, et ses publications en psychanalyse, dans la fidèle mémoire de Jean-Max et de leur travail commun.
Jean-Max Gaudillière, biographie